Afin d’éviter de heurter la grande sensibilité de Gims, il est dorénavant exigé de ne plus lui souhaiter un Joyeux Pessah ou un Bon Hannukah. De même, on devra s’assurer de ne plus le solliciter pendant la fête de la musique.
Le talentueux musicien Gims a créé le scandale en demandant à ses frères de ne plus lui souhaiter une Bonne Année. Le rappeur étant issu d’une fratrie de quatorze personnes, il était plus simple pour lui de passer par les réseaux sociaux afin de faire passer son message. Dans la foulée, il a aussi demandé à ce qu’on ne lui souhaite aucune fête juive, bouddhiste, hindouiste, jaïniste, sikh, chiite, zoroastrienne, shintoïste, ou chrétienne. Il laisse encore planer le doute en ce qui concerne le 14 juillet.
Correction : nous apprenons qu’en parlant de ses « frères », il parlait de ses frères musulmans et non pas des autres enfants de ses parents.