Si la cuisine ashkénaze semble subir les moqueries des Séfarades, elle permet aussi de ne pas trop souffrir face au COVID-19.
Maxime Frankel est infecté par le coronavirus, et a continué à manger les plats traditionnels ashkénazes : gefilte fish, kneidl, hareng à l’huile, etc. Il ne s’est pourtant jamais rendu compte qu’il avait perdu le sens du goût et de l’odorat.
« On va encore dire que notre cuisine n’a aucune saveur », affirme un chef cuisinier ashkénaze qui préfère s’exprimer anonymement.
De leur côté, les Séfarades prétendent qu’une fois atteints par le coronavirus, ils pourront sans doute réussir à avaler un plat ashkénaze.
Et la galeret 😱où est la galaret 😥
Shalom, franco américaine, maman et traductrice.