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En cas d’échec de Zemmour, l’extrême-droite pourra encore dire que c’est la faute d’un Juif

La fachosphère est en ébullition. Avec l’omniprésence médiatique de son candidat fétiche, certains espèrent mais d’autres envisagent le pire. Ils s’apprêtent à accuser le polémiste aux origines israélites.

Du négationniste Hervé Ryssen au youtubeur « facho » Daniel Conversano, tous les soutiens d’extrême-droite d’Eric Zemmour misent sur le polémiste afin de faire triompher les idées de la droite de la droite de la droite.

Si d’autres, à l’instar d’Henry de Lesquen, sont plus circonspects quant à cette candidature, les arguments se mettent déjà en place en cas d’échec. Pour M. de Lesquen , « c’est simple, s’il perd, on saura bien pourquoi ! On ne met pas un israélite maghrébin à la tête de la droite nationale et chrétienne, c’est comme le disait De Gaulle cité par Zemmour lui-même, mélanger de l’eau et de l’huile… d’olive en l’occurence. Ça ne fonctionne pas. »

Pour d’autres militants, il faut attendre. En cas d’échec, il sera alors temps de le jeter au bûcher, y compris des vanités.

Le scrutin présidentiel français permettra enfin de savoir si la judéité peut se dissoudre dans Charles Maurras.

crédit photo : image i24news GGMO

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