Le trafic de faux test positifs était opéré depuis un call-center à Netanya qui recevait les commandes et les traitait dans la journée. Un faux positif était alors envoyé par mail au client.
On connaissait déjà les trafics de faux pass sanitaires, mais les fêtes de Noël on permit de mettre à jour un autre trafic, celui des faux tests positifs au COVID. A la tête de ce commerce lucratif, Yoni Bendennoun nous explique : « On comprend ceux qui ne veulent pas se farcir la famille pour Noël, on a shabbat tous les vendredis et c’est parfois insupportable. On a développé le faux test positif d’abord pour Shabbat, et on a eu l’idée d’étendre le concept à Noël. On a tout explosé. »
Un récent sondage montrait que plus d’un quart des Français considérait le soir de Noël comme une corvée.