A Gaza, il a été noté un progrès des droits des minorités grâce à l’islamo-gauchisme pourtant décrié. Le Hamas a ainsi nommé Fatoumata Abdallah à la tête de sa branche armée.
Pour la jeune femme, ce poste est un rêve : « Depuis je suis un petit garçon, j’ai toujours rêvé d’être une femme d’action. » Originaire du Soudan, elle a atterri à Gaza, en traversant la frontière depuis l’Egypte en pensant arriver en Israël.
L’islamo-gauchisme a été sa bouée de sauvetage. Soutenue depuis l’Hexagone par la France Insoumise, elle a pu réunir sa passion islamiste et son identité transgenre grâce à cette promotion au sein du Hamas, dans le but de préparer les prochaines attaques contre Israël. Un bien bel exemple d’intégration dans la société gazaouie.
Malheureusement, dix-sept minutes après sa nomination, Fatoumata a péri par lapidation au centre ville de Gaza. La DRH du Hamas n’a pas souhaité faire de commentaire sur ce licenciement expéditif.