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Israël-Gaza: les journalistes furieux d’être privés de guerre cette année

Les Israéliens ont eu beau s’excuser lors d’un point presse, les journaux et les chaînes d’information ne décolèrent pas. Elles avaient déjà prévu d’y dépêcher leurs envoyés spéciaux, les vols étaient réservés ainsi que les chambres d’hôtels. Un manque à gagner pour l’industrie hôtelière israélienne et gazaouie de plusieurs centaines de milliers de dollars.

Les responsables du Hamas à Gaza ont eux-mêmes été surpris par un cessez-le-feu aussi rapide. « On n’a même pas eu le temps de mettre en place les boucliers humains! » se désole-t-on. Le chef d’état-major israélien s’est d’ailleurs empressé de contacter son homologue palestinien pour lui expliquer que ce n’est que partie remise.

« La décision du gouvernement de Netanyahu a pris tout le monde de court, indique un député du Likud, les dernières rumeurs évoquent un début de dépression pour Bibi, il errerait en pyjama dans les couloirs de sa résidence. »

Du côté du premier ministre, on se veut rassurant: « Le Hamas avait commencé la partie alors qu’on n’était pas prêt, on a fait « pouce » juste pour qu’on puisse recommencer à zéro. L’année n’est pas encore finie et tout est encore possible. »

Le Hamas s’impatiente, et un communiqué émanant de l’organisation palestinienne rappelle que « Nous ne sommes pas sûrs de vouloir reprendre la guerre si les Israéliens se décident. Trop tard. »

Afin de débloquer la situation, des négociations de guerre pourraient se mettre en place.

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