Après la succession de polémiques autour d’une judéophobie supposée du leader insoumis, l’ancien candidat à l’élection présidentielle a tenu à faire taire les critiques.
Jean-Luc Mélenchon, qui se rêve en Premier ministre, a souhaité mettre un terme aux accusations d’antisémitisme. Il explique ainsi « Ces accusations d’antisémitisme, c’est une honte, un immonde chantage opéré par des officines sionistes à la solde du judéo-talmudisme le plus israélite », et de poursuivre en affirmant que « si je ne suis plus chez les francs-maçons, c’est à cause de l’OPA de la communauté agressive. »
Pour M. Mélenchon « on ne peut plus rien dire sans être taxé de judéophobie. Je n’ai rien à me reprocher. Et croyez-vous que j’aurais confié la gestion de mon patrimoine à un banquier juif si j’étais l’antisémite que l’on prétend. Faut dire qu’ils sont très forts pour ça. »