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Père ashkénaze et mère séfarade, elle déprime tout en parlant trop fort

La jeune Livna Levintzky-Boutboul, 17 ans, consulte un psychanalyste depuis près de deux ans. Sa double éducation ashkénaze et séfarade a eu un impact terrible sur elle. Elle est tombée dans une grave dépression, ce qui ne l’empêche pas d’étaler son mal-être à très haute voix.

Pour la lycéenne, tout a commencé à 14 ans, lorsqu’elle a pris conscience de son nom de famille : « Mais sérieux ! j’ai aucune street crédibilité avec un nom pareil. Qui voudrait un blase sortant d’un shtetl de Bab-el-Oued?? »

La suite n’a pas été mieux. « Frérot, je mettais de la harissa dans le gefilte fish, et du raifort sur le couscous… Oÿ vey, j’ai perdu 8 kg en 2 semaines… » raconte la jeune femme.

Afin de la sortir de cet état, il lui a été recommandé de faire un séjour dans le Finistère, le lieu avec le moins d’Ashkénazes et de Séfarades de France.

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