De nombreux éléments ont choqué les Français dans l’affaires des dîners clandestins. Parmi eux, le tarif des menus qui ont surpris plus d’un, sauf dans la communauté juive qui a immédiatement reconnu les montants des restaurants cashers.
Pour Déborah Attal, rien de surprenant dans les tarifs rapportés par les médias : « Lorsque j’ai entendu les montants, à partir de 160 euros par personne, j’ai tout de suite reconnu : ce sont les prix pratiqués par n’importe quel traiteur casher à Paris. Je le sais, c’est ce que j’ai payé pour la Bar Mitsva de Jordan. »
Selon Francis Timsit, le président de « Le Pigeon n’est pas casher », une association juive luttant contre les prix exorbitants des produits cashers, il s’agit d’une mise en lumière du scandale dans le scandale : « Maintenant le reste de la population française va comprendre ce que nous devons payer tous les jours, sans en avoir forcément les moyens. »