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Selon le Comité Mondial des Ashkénazes Dépressifs, l’année 2020 n’a « pas été si mal que ça »

Le CMAD (Comité Mondial des Ashkénazes Dépressifs) a tenu son assemblée générale annuel le 31 décembre afin de faire un bilan de l’année écoulée. Selon l’ensemble des membres de l’association, 2020 a permis au reste du monde de « comprendre ce que nous ressentons depuis toujours ».

Pour Chlomo Aaronsky, président du CMAD, l’année 2020 n’avait pourtant pas bien commencé : un travail agréable, une famille aimante, et pourtant, toujours ce sentiment d’être incompris en dehors de ses pairs au sein du comité.

« Personne ne semblait nous comprendre, comme un décalage avec le reste du monde. » Fort heureusement, l’année 2020 a permis de remédier à ce problème : pandémie mondiale, crise économique et sociale, confinement et le dernier album d’Aya Nakamura, autant de raisons pour le reste de la  planète de déprimer.

« Enfin nous n’étions plus tout seul à voir le monde et la vie comme une abysse sans fin, cela nous a presque rendu heureux. »

Après ce bilan, le CMAD a souhaité une pire année 2021.

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