Une histoire mêlant optimisme et espoir a été révélée par la Revue de Psychanalyse Ashkénaze. Le bonheur a frappé à la porte de David Rothberg, préférant repousser son suicide de 24 heures. Au lieu d’un cancer de la prostate, il a appris qu’il souffrait en réalité d’une tumeur au cerveau.
Pour David Rothberg, 58 ans, le bonheur est enfin arrivé dans sa vie. Cet avocat fiscaliste résidant dans le New-Jersey pensait qu’il allait mourir d’un cancer de la prostate : « J’avais déjà prévu de mettre immédiatement fin à mes jours. La seule perspective d’espoir était l’idée de pouvoir me plaindre pendant des mois, mais je m’étais résolu à en finir malgré tout. »
Une ultime visite chez le cancérologue a bouleversé ses plans. Son médecin, le Dr Goldenblatt, lui a annoncé la bonne nouvelle : « Vous n’avez pas un cancer à la prostate, il s’agit d’une simple métastase. Vous avez une tumeur au cerveau ! »
Le cancéreux, soulagé, a su apprécier ce moment de bonheur. Il décrit son sentiment : « Vous ne savez pas à quel point je suis heureux ! Mourir d’une tumeur au cerveau, c’est plus classe que de crever d’un bête cancer de la prostate… «
Les funérailles de David se tiendront donc dans 48 heures.
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