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Le Prozac désormais inscrit au patrimoine culinaire ashkénaze

Une certaine impatience entourait la diffusion de la bonne nouvelle. L’UNESCO vient enfin d’annoncer que le Prozac est inscrit au patrimoine culturel immatériel en tant que spécialité culinaire ashkénaze.

Pour le Dr Simon Goldenberg, initiateur du projet « Prozac 2020 », dont le but est de faire inscrire le Prozac au titre du patrimoine culturel de l’UNESCO, il s’agit d’un grand succès : « Pour les Ashkénazes, cette inscription est une victoire totale! Il faut bien l’avouer, le Prozac reste la seule spécialité culinaire indubitablement ashkénaze qui a réussi à conquérir le monde. C’est un peu comme la pizza pour les Italiens. De plus, il faut bien le reconnaître, c’est sans doute le seul plat ashkénaze qui a vraiment du goût. »

Une délégation iranienne a tenté de faire capoter le projet en prétendant que le Prozac est une tradition perse. Un porte parole du régime des mollah a ainsi rappelé : « Nos dirigeants ne ménagent pas leurs efforts pour s’assurer d’une dépression de la population iranienne afin que le Prozac soit avant tout une spécialité de chez nous ! »  L’argument était solide, mais la Commission Ashkénaze Mondiale (la CAM) a simplement fait intervenir la mère de l’un de ses membres pour convaincre l’UNESCO qu’il s’agissait bien d’un plat typiquement ashkénaze.

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