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Un Ashkénaze devient dépressif en apprenant qu’il est heureux.

Un terrible fait divers s’est déroulé la semaine dernière à Paris. Lorsque le psychanalyste de Henri Rozinsky lui a annoncé qu’il y avait de grande probabilité qu’il soit en réalité heureux, il est tombé dans une profonde dépression.

Cela faisait bientôt 21 ans qu’Henri Rozinsky, parisien de 62 ans, était suivi par un psychanalyste : « Pour moi il était naturel d’aller le voir, c’est une tradition familiale ! »

Pourtant, derrière ces rendez-vous hebdomadaires, une tragédie se nouait pour Henri. C’est ce que son thérapeute a fini par découvrir : « J’ai été dans l’obligation d’annoncer à M. Rozinsky qu’il allait très bien, et qu’il y avait de grandes chances qu’il soit très heureux. Il a un travail qu’il aime, une femme qui l’adore, des enfants merveilleux, bref, tout va bien. »

A l’annonce de ce bonheur inattendu, Henri a très mal réagi : « J’étais pourtant convaincu qu’en tant qu’Ashkénaze, je ne pouvais pas être heureux. Cette nouvelle m’a déprimé. Je vais sans doute devoir continuer les consultations pour remédier à cette dépression issue de mon bonheur. »

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